les défis de Charlotte: empreinte
Empreinte, un beau thème et trop d'envie... empreinte de l'eau sur le lit de la riviere, empreintes de l'age sur les visages empreintes de pieds dans le sable etc etc... mais surtout m'est revenue cette envie d'empreinte comme lorsqu'enfant on s'emerveillait de faire apparaitre une piece de monaie en frottant sur un papier posé dessus avec un crayon...
empreinte de l'écorce de mon tilleul...
les defis de Charlotte
dessiner la fenetre de sa chambre.
j'ai préféré celle d'une chambre d'hote tres sympa à Sorreze ... c'est vite fait, et même pas envie de la publier mais fo bien se booster alors hop, c'est comme c'est , un jour peut etre ce sera mieux... le mieux c'est comme on peut au jour le jour et il y a des mieux qui chantent et des mieux qui peinent un peu ... c'est ainsi...
mes vieilles espadrilles
radieux-actifs...
face à la douleur des Japonais, aux souffrances des lybiens, à la folie des hommes, on se sent perdus, demoralisés... comment aider?
si on ne veut pas rajouter du poids à ce qui se passe dans le monde, si on veut trouver des solutions pour rester tous solidaires ... peut etre pourrait on commencer pas alléger nos pensées?
y mettre un sourire n'a rien d' inconscient ou irrespectueux des malheurs du monde...
PARTIR
Ce matin là, elle a mis ses chaussures et elle est partie...
.
ça faisait tellement longtemps qu'elle en avait envie... envie si fort qu'elle croyait que jamais elle ne le ferait... que ce n'etait qu'un rêve... partir, partir , partir loin, partir sans se retourner, sans regret...
Et elle n'a eu aucun regret, elle s'emerveillait de tout mais sans jamais s'y arrêter, du moins pas longtemps, l'emerveillement est immediat et imperissable au coeur....
Toujours partir ,plus loin...encore et encore... elle s'est remplie du parfum intemporel des chemins des paysages et des sourires....
Pour etre sure de repartir, le soir, avant de se coucher elle mettait ses chaussures dans la direction du partir ... et le matin elle sautait dedans.
Une nuit d'étoiles filantes, un enfant sommeilleux qu'on envoyait au lit a vu les chaussures. Perplexe, au seuil du monde des rêves, il a les a retournés dans l'autre sens avant de plonger sous ses draps avec le sourire farceur de la vie qui chatouille.
Elle s'est chaussée le matin et elle s'est lancée sur le chemin du retour... sans le savoir, les allers ne ressemblent jamais aux retours. Et elle s'est émerveillée.
Un jour, elle a trouvé une maison qui ressemblait à celle qu'elle avait quitté. Elle l'a aimée.
Elle y a trouvé un homme qui ressemblait incroyablement à celui qu'elle avait laissé derriere elle. Elle l'a aimé tres fort...
Et elle est restée.
Et c'est ainsi qu'elle a su de quel immense bonheur son coeur avait depuis toujours été le réservoir...
PS : un conte fait pour faire du chemin...
un conte à dire, à raconter, à remettre dans ses propres mots, un conte à confier au vent pour que ceux qu'il touche le redisent et l'illustrent à leur manière.
petits chevaux mongols
une petite fille
j'avais rajouté la petite fille et puis plus rien... .
comment faire mon jardin en hiver? ...
la maison, ou pas la maison ???
je ne sais pas encore ce que je veux...
je pose de temps à autre, au pinceau toujours, une idée sur papier aquarelle mais pour le moment je reste dans les brouillons.
pour le jardin j'en suis là ( sur un autre brouillon ):